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Manager, c’est avant tout une question d’attitude !

Face aux différents changements auxquels les collaborateurs peuvent se confronter, le manager doit savoir adopter la bonne attitude.

 

Face aux différents changements auxquels les collaborateurs peuvent se confronter, le manager doit savoir adopter la bonne attitude. Grâce à l’écoute et l’empathie, il devra prendre en compte la phase dans laquelle se trouve chaque membre de son équipe quant à son acceptation du changement.

Les collaborateurs face au changement

Dans un monde en perpétuelle instabilité, il est fréquent de vivre un certain nombre de changements. Certains sont forts comme une réorganisation ou une transformation de business model, et certains sont plus anodins, tels qu’une promotion, un changement d’outils ou l’annulation d’un rendez-vous.

Tous ces changements génèrent chez nous des émotions : de la colère contre celui qui annule un rendez-vous, de la joie pour une promotion, la tristesse d’un départ, du dégoût envers une décision perçue comme injuste,  ou encore de la peur concernant une nouvelle organisation.

Divers travaux ont défini que nous passons successivement par un certain nombre d’étapes avant de mettre en œuvre les actions attendues par ceux qui initient le changement :

infographie - courbe du changement

 

 

Quelle attitude adopter ?

Mais là où certains naturellement orientés vers l’action vont passer assez vite sur les premières étapes de la courbe du changement, d’autres vont avoir du mal à lâcher le passé et à se projeter vers l’avenir.

Et c’est là où l’attitude du manager va se révéler déterminante.

Pour permettre à chacun d’être performant vis-à-vis des changements qui s’opèrent, le manager doit en effet accélérer le passage de ses collaborateurs sur la courbe du changement. Mais pour cela, il doit savoir identifier la phase où en est son collaborateur. L’empathie et l’écoute sont alors nécessaires pour choisir la bonne approche :

  • Ecouter encore si nécessaire
  • Expliquer si le collaborateur est en capacité d’écouter
  • Rassurer si besoin
  • Accompagner lorsque l’action est engagée

Cette bonne attitude est essentielle car comment imaginer accompagner dans l’action une personne en phase de refus ou de déni ?

 

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